Bolle Global Services

Les actualités :

Retrouvez l’ensemble de mes articles sur Linkedin également

1. Bolle Global Services s'associe avec offres.ch

BOLLE GLOBAL SERVICES basée à Genève, est ravie d’annoncer son association avec offres.ch pour l’offre de ses services en matière comptable, fiscale et/ou administrative.

 

Grâce à cette collaboration, nous sommes en mesure d’offrir à nos clients un accès plus large à des opportunités professionnelles dans le domaine de la comptabilité, de la fiscalité et de la gestion de questions administratives complexes, telle la création d’entreprise. Nous sommes convaincus que cette association renforcera notre position sur le marché et nous permettra de continuer à fournir des services de haute qualité à nos clients.

 

Nous sommes impatients de vous aider à atteindre vos objectifs financiers et administratifs.

2. L'amortissement immobilier direct et indirect

L’amortissement direct (entre 1% et 2%) implique le remboursement progressif de l’hypothèque, en plus des intérêts hypothécaires.

 

L’amortissement indirect, en revanche, implique d’utiliser un 3e pilier A ou partie d’un 2e pilier (mis en gage) pour rembourser le capital emprunté à un moment T. La dette reste fixe, la déduction des intérêts reste stable, voire augmente selon les plans d’intérêts choisis.

 

Les raisons de ne pas avoir de bien immobilier sans ou avec peu d’hypothèque

 

Coût des intérêts hypothécaires

 

En Suisse, les taux hypothécaires sont bas. Par conséquent, emprunter de l’argent pour acquérir un bien immobilier peut sembler attrayant. Toutefois, même avec des taux bas, les intérêts hypothécaires peuvent représenter une somme considérable sur une longue période, étant qu’ils sont eux payés à la banque.

 

Risque d’endettement excessif

 

Avoir un bien sans ou avec peu d’hypothèque peut sembler avantageux, car cela permet de conserver ses fonds propres pour d’autres investissements. Cependant, cela peut également entraîner un endettement excessif. En cas de hausse des taux hypothécaires ou de difficultés financières, le propriétaire peut se retrouver dans une situation délicate, avec des mensualités hypothécaires trop élevées à payer.

 

Opportunité d’investissement manquée

 

Lorsque l’on investit dans l’immobilier, il est important de considérer le rendement potentiel. Les fonds propres utilisés pour rembourser le capital emprunté pourraient être investis dans d’autres opportunités plus lucratives. Par exemple, investir dans des actions ou des fonds d’investissement peut générer des rendements plus élevés à long terme. Avoir un bien sans ou avec peu d’hypothèque signifie donc manquer cette occasion d’investissement.

 

Les avantages fiscaux de l’amortissement direct et indirect

Déduction des intérêts hypothécaires

En Suisse, les intérêts hypothécaires peuvent être déduits des revenus imposables dès lors qu’un revenu fictif est rajouté aux revenus réels (valeur locative). Cela signifie que plus vous remboursez d’intérêts hypothécaires, plus votre revenu imposable sera réduit.

Possibilité de déduction des frais d’entretien

Lorsque vous possédez un bien immobilier, vous êtes responsable de son entretien et de ses réparations. En tant que propriétaire, vous pouvez déduire certains frais d’entretien de vos revenus imposables.

L’hypothèque peut couvrir ces frais, tout en bénéficiant de la déduction fiscale correspondante.

Optimisation de la charge fiscale

L’amortissement indirect se fait généralement via la mise en gage d’une assurance 3e pilier A dont les primes sont déductibles, alors que les intérêts et le capital sont francs d’impôts jusqu’à l’échéance, date à laquelle le capital versé est soumis un impôt unique sur la prestation en capital (1/5e du taux à Genève).

Restent à analyser les avantages et désavantages concrètement.

 

A disposition pour échanger.

 

 

3. Réduire l'impôt sur la fortune

Réduire l’impôt sur la fortune, tout en augmentant la valeur fiscale de l’immobilier : cette question sera soumise aux Genevois le 18 juin prochain.

 

Pourquoi ?

 

La sous-estimation des biens détenus par les anciens propriétaires crée une inégalité de traitement avec les nouveaux propriétaires et la Confédération a donc sommé le Canton de régler ce problème, contraire à la loi.

 

Comment :

 

1. Augmentation de la valeur de la valeur des biens (estimation cadastrale de 12%

2. Ensuite indexation automatique sur l’inflation (avec un plafonds à 1% / an)

3. Réduction de l’impôt sur la fortune (0.85‰ au lieu de 1 ‰)

 

Problème 1

 

La valeur locative basée sur la valeur de l’estimation cadastrale va de facto augmenter. L’assiette fiscale augmentant, l’impôt sur le revenu dû en fait autant.

Pour CHF 1’000.- de revenu supplémentaire, il faudra compter sur un complément d’impôt estimé de CHF 350.- (imposition marginale).

Qu’est-t-il prévu pour les personnes ne pouvant supporter une hausse de l’impôt sur le revenu de cette ordre ? Je pense notamment aux propriétaires retraités ou bénéficiaires de l’AI qui ne voient pas leurs revenus augmenter avec l’inflation, sans oublier les chômeurs …

 

Problème 2

 

Pour les propriétaires d’immeubles locatifs, quelles vont être la répercussion sur les loyers dont les contrats de bail ne sont pas corrélés au taux d’inflation ?

 

Amis experts fiscaux et fiscalistes à vos plumes pour donner votre avis éclairés

 

 

https://lnkd.in/euYBnSyy

4. La différence entre un leader et un suiveur?

La différence entre un leader et un suiveur ?

 

L’amour de son métier… et j’adore mes métiers qui inclut de résoudre des problèmes, tels que

 

  • faire valoir ses droits auprès du Service des Prestations Complémentsires (SPC) en procédant à un audit sur plus de 10 sans ou simplement requérir l’aide sociale de la Ville de Genève pour les bénéficiaires SPC
  • résoudre des problématiques fiscales (taxations d’office, demande d’arrangements de paiement, demande de remises, réclanations ET déclaration fiscale, ainsi qu’optimisation fiscale)
  • auditer de comptabilités passées et négociation avec le fisc pour faire valoir des modifications, voire des oublis
  • remettre sur les rails un employeur concernant son employée de maison (salaires, charges sociales et impôts à la source), voire d’autres problématiques telle la participation à la mise en conformité avec les autorités fiscales américaines
  • réorganiser l’administratif, les paiements, les dettes et la fiscalité des phobiques administratifs, mais aussi des retraités et des proches-aidants
  • faire valoir ses droits à un indépendant face à un prestataire ayant mal fait son travail, voire de manière incomplète et le protéger pour les problèmes futurs en l’invitant à conclure une assurance juridique (professionnelle ET privée)
  • faire prendre conscience à des indépendants que le passage en Sàrl doit être envisagé et préparé afin que cette possibilité puisse être mise en action rapidement le moment venu.

 

En 5 mois, c’est très satisfaisant 👍

 

Et vous, quelles sont vos préoccupations ?

 

 

5. L'optimisation fiscale en Suisse

L’optimisation fiscale en Suisse

 

L’optimisation fiscale en Suisse se réfère aux stratégies légales utilisées par les entreprises pour minimiser leur charge fiscale en tirant parti des lois fiscales suisses, qui offrent un certain nombre d’avantages fiscaux. Certaines de ces stratégies comprennent:

 

  • Établissement d’une société en Suisse: Les entreprises peuvent établir une société en Suisse pour profiter des taux d’imposition inférieurs et des avantages fiscaux, tels que les crédits d’impôt sur les dividendes.
  • Utilisation de régimes d’imposition spéciaux: Les entreprises peuvent bénéficier de régimes fiscaux spéciaux, tels que les statuts fiscaux des sociétés holding, des sociétés mixtes ou des sociétés de domicile, qui permettent de réduire leur charge fiscale.
  • Utilisation de conventions fiscales: La Suisse a signé des conventions fiscales avec de nombreux pays, ce qui permet aux entreprises de réduire leur charge fiscale en évitant la double imposition.
  • Planification fiscale internationale: Les entreprises peuvent utiliser des stratégies de planification fiscale internationale, telles que le transfert de bénéfices et la facturation interne, pour minimiser leur charge fiscale.

 

Cependant, il est important de noter que l’optimisation fiscale doit être effectuée conformément aux lois fiscales suisses en vigueur, et les stratégies illégales ou éthiquement douteuses peuvent entraîner des sanctions et des poursuites pénales.